Articles de l'auteur
Café-philo du 3 mai 2006 au Gil bar à Poitiers
17 personnes présentes.
Sujets proposés :
- Parle-t-on trop de l’étranger ? [4]
- Éthique et liberté [4]
- Le plaisir est-il l’unique moteur de l’activité humaine ? [5]
- Quel est le « prix » de la vie ? [6] sujet débattu
Il semble bien difficile de répondre à cette question, chaque jour des femmes et des hommes meurent de maladies, d’accidents et de guerres en tous genres (armées ou économiques).
Quelle est le prix de la vie ? La notre, celle des « autres »… On pourrait dire qu’elles sont les prix de nos vies ?
Il semble difficile d’apporter déjà une définition au prix des choses qui nous entourent. Le prix est-il une valeur marchande ou bien un prix plus spirituel lié à l’attachement.
La vie d’un être vivant est-il plus important que la vie d’un autre être ? La vie de certains humains est elle plus importante que la vie d’un autre humain. Dans certaines sociétés, les personnes sont des objets que l’on peut sacrifier. La vie n’a pas la même signification pour tout le monde, on se réalise par ce que l’on possède que se soit des bien matériels ou des personnes à son service. On peut manipuler des personnes comme on programme un ordinateur, un serviteur pour ne pas dire un esclave…
Les personnes doivent être rentables…
La possession et l’appropriation de biens peut bien justifier quelques « sacrifices » humains. Prix de la vie, l’immigration contrôlée par ce que la personne peut rapporter, il faut bien se rendre l’évidence tout à prix ou une valeur marchande même le droit de vivre…
On n’a rien sans rien… Il faut que quelqu’un paie… un « étranger » diplômé vaut mieux qu’un résident un peu perdu ou diminué physiquement que l’on tolérera faute de ne pouvoir le renvoyer chez lui…
La vie d’un Européen, vaut-elle plus que celle d’un Africain, d’un Asiatique, d’un Américain ou d’un Océanien. Et les jeux Olympiques ? ;)
Coccinelle
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/05/cafe-philo-du-3-mai-2006-au-gil-bar-a-poitiers/
Café-philo du 19 avril 2006 au Gil bar à Poitiers
15 personnes présentes
Sujet proposés :
- L’histoire nous apprend-elle à vivre ? [5] sujet débattu
- Le prince charmant existe-t-il ? [2]
- La surprise est-elle le piment de l’existence ? [4]
- Le charme est-il le sel de l’existence ? [0]
- L’écologie est t’elle un luxe de pays de pays riche ? [4]
L’histoire, le problème est de savoir de quelle histoire nous parlons. Il y des histoires qui sont là pour nous compter des choses diverses et variées et l’Histoire ou plutôt des bribes d’histoires qui racontent l’évolution de la vie de nos civilisations. L’Histoire devrait être construite en ne relatant que des faits passés le plus objectivement possible sans mettre sa propre interprétation des faits, mais cela est-il réellement possible ? L’histoire est-elle subjective et orientée par celui qui l’écrit ? L’histoire n’est-elle toujours écrite que par les « vainqueurs » ? On a pu constater par le passé que des pans entiers de l’histoire de pays ont été passés sous couvert par des pouvoirs politiques en place. L’histoire n’est-elle que politique ? Il n’apparaît donc pas si simple de savoir si l’histoire nous apprend à vivre, vu que nous arrivons dès notre naissance en plein cours d’une histoire collective qui est en train de s’écrire. Cependant nous pouvons constater que l’histoire ne fait quasiment que se répéter comme si cela n’était qu’un cercle « vicieux », de la destruction à la reconstruction, les buts sont toujours les mêmes conquérir toujours plus loin sans forcement tenir compte des erreurs du passé. Qui écrit l’histoire ? Pourquoi ne retenir que quelques noms ? Les hommes étant en tête des gouvernements sont-ils les seuls à penser les « bonnes choses » et à écrire l’avenir, donc la future histoire sachant que l’histoire est forcement du passé ?
Coccinelle
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/cafe-philo-du-19-avril-2006-au-gil-bar-a-poitiers/
L’ancien site de Philo par tous
Archives de l’ancien site de philo par tous
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/lancien-site-de-philo-par-tous/
Auteurs ayant participé à l’ouvrage Apprendre en philosophant
- Anne-Frédérique Brault, CPE depuis 2 ans au collège Jean Vilar, des MUREAUX (78), classé ZEP, PEP4, et Prévention violence.
- Jean-François Chazerans, professeur de philosophie intervenant dans les classes.
- Lucien Deslandes, professeur des écoles, école Jacques Brel Poitiers.
- Fabrice Devanne, instituteur spécialisé (Option F), directeur de la SEGPA du Collège Renaudot Poitiers
- Agnès Genin, Conseillère Pédagogique en Combe de Savoie. Actuellement Inspectrice de l’éducation nationale
- Dominique Grange, employé chez France-Télécom, participant de cafés-philo.
- Marie Lahorgue, Conseillère Principale d’Education, collège de Latillé (86)
- Nathalie Lassalle, Conseillère Principale d’Education, collège Voltaire à Asnières (92).
- Jean-Jacques Latouille, docteur en sciences de l’éducation, Inspecteur de l’Education Nationale, chargé de formation à l’Ecole Supérieure de l’Education Nationale.
- Joëlle Martin, institutrice, école élémentaire de Neuville du Poitou (86).
- Christine Morin, institutrice, école élémentaire de Biard (86).
- Mireille Oliver, professeur des écoles spécialisée (Option F), collège Jean Moulin Poitiers. Actuellement directrice de la SEGPA du collège Renaudot à Poitiers.
- Audrey Pétard, professeur des écoles, école élémentaire Paul Blet Poitiers.
- Patricia Roux, professeur des écoles maître formateur à l’IUFM. Actuellement conseillère pédagogique.
- Karjougui Sawadogo, docteur en philosophie, Conseiller Principal d’Education.
- Jean-Pierre Seulin, employé à la direction des transports, participant de cafés-philo.
- Delphine Toquoy, professeur des écoles, collège Jean Moulin Poitiers.
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/auteurs-ayant-participe-a-louvrage-apprendre-en-philosophant/
Présentation de l’ouvrage Apprendre en philosophant
Les enfants philosophent aussi
L’idée que les enfants peuvent philosopher a d’abord été mise en œuvre par Mathiew Lipman[1] à partir de 1969 aux États-Unis. Cette pratique de la Philosophy for children (P4C) s’est ensuite largement répandue, et en particulier dans le monde francophone, au Québec, à partir du début des années 80. En parallèle, dès le milieu des années 80, en Belgique, Jacques Duez[2] organisait des entretiens et des débats philosophiques avec des élèves du primaire.
En France, à partir de la fin des années 70 et jusqu’en 97-98, parallèlement à des formations d’enseignants à la méthode de Lipman et à des tentatives d’introduction de la Philosophie pour enfants qui ne se sont pas pérennisées, il y eut quelques essais d’enseignement de la philosophie avant la terminale et ce jusqu’en 6e. Les plus célèbres sont relatées dans le livre coordonné par Jacques Derrida, Qui a peur de la philosophie ?[3], écrit en collaboration avec le Groupe de Recherche sur l’Enseignement de la Philosophie.
A partir de 1997, et sans concertation, des formations à la méthode Lipman ont eu lieu dans les IUFM[4] (Marc Bailleul à Caen et Emmanuelle Auriac-Peyronnet à Clermont-Ferrand) suivies d’expérimentations dans les classes (en particulier Gilles Geneviève à Caen), des pratiques ont été mises en place et développées dans les classes des écoles et des collèges : Alain Taurisson dans la Creuse, Pascal Chevalier à Rouen, Anne Lalanne à Montpellier, Alain Delsol à Narbonne avec Michel Tozzi, Agnès Pautard dans la région lyonnaise avec Jacques Lévine, la Fondation 93 et les intervenants-philosophes qui collaboraient avec elle, Jean-Charles Pettier, Thierry Bour et Oscar Brenifier dans la région parisienne, et moi même à Poitiers.
En avril 2001 eut lieu la première rencontre nationale à l’INRP[5] à Paris, à l’initiative de la Fondation 93 aidée par deux chercheurs, Michel Tozzi et Christian Pratoussy, et un professeur de philosophie d’IUFM, Jean-Charles Pettier, qui nous a permis de nous apercevoir de l’extension, de la diversité et de la vigueur de ce qu’on a appelé plus tard les « Nouvelles pratiques philosophiques en classe et dans la cité ». Suite à cette première rencontre, un site internet et une liste de discussion[6] ont contribué à renforcer un mouvement, aidés en cela par la tenue d’un colloque national annuel.
Aujourd’hui ces pratiques se sont développées dans tous les secteurs de l’enseignement et de la formation qui vont de la maternelle à la formation pour adultes en passant par l’enseignement spécialisé (SEGPA[7] et IME[8]) et par le lycée professionnel, mais aussi dans la cité : cafés-philo, ateliers de philosophie, universités populaires… La liste de discussion, qui compte aujourd’hui plus de 250 personnes, témoigne de cet essor. Notons également que lors de sa cinquième édition, le colloque « Nouvelles pratiques philosophiques en classe et dans la cité » a pris une dimension européenne[9]. Et que d’autres colloques plus institutionnels ont été organisés, réunissant des membres des IUFM, de l’université et de l’inspection générale de philosophie[10]. Enfin, le fait même que l’on se pose à présent la question de l’institution de telles pratiques est bien le signe d’un progrès dans l’intérêt porté à l’enseignement de la philosophie aux enfants.
Pour ce qui est de la façon de procéder, il y a cinq méthodes présentes au début, qui ont servi de base pour continuer à innover. D’abord, l’entretien philosophique de groupe à fort guidage de l’enseignant ou dialogue socratique ; ensuite, la méthode de l’assemblée démocratique et des compétences philosophiques ; puis la philosophie pour enfants de Lipman dont nous avons déjà parlé ; le courant des préalables à la pensée philosophique ou philosophie naturelle ; et enfin la méthode de l’intervenant ou philosophie populaire dont il est question dans ce livre.
Il nous a donc semblé nécessaire aujourd’hui, et ce sera l’objet de cet ouvrage, en collaboration avec des enseignants praticiens et des participants de café-philo, de faire le point sur ce que nous avons mis en oeuvre ici et de proposer un support, aussi bien pratique que théorique, pour aider tous ceux qui souhaiteraient commencer des activités philosophiques dans leur classe ou ailleurs, ou les prolonger. Les programmes de philosophie parus au Bulletin Officiel de l’Education nationale du 19 juin 2003, précisent que l’objectif de l’enseignement de la philosophie est, tout autant que l’acquisition d’une culture philosophique initiale, de « favoriser l’accès de chaque élève à l’exercice réfléchi du jugement », et de développer « l’aptitude à l’analyse, le goût des notions exactes et le sens de la responsabilité intellectuelle. Il contribue ainsi à former des esprits autonomes, avertis de la complexité du réel et capables de mettre en œuvre une conscience critique du monde contemporain. » Dans la continuité de ces principes, l’ouvrage plaide pour un développement de la pratique vivante du dialogue philosophique en classe et plus généralement dans les établissements éducatifs et dans la cité.
Il s’agit d’une démarche pédagogique militante qui non seulement utilise la pratique du dialogue philosophique comme moyen d’aider les élèves à appréhender ensemble, à partir de leurs propres questionnements, – et ce grâce à un intervenant extérieur – des notions et des problématiques d’ordre philosophique, mais se bat pour une révolution radicale de la pédagogie et de l’école. En transformant la pédagogie qui se fonde actuellement quasi-exclusivement sur la relation successive de l’enseignant à chaque élève en une relation de classe, ce sera la classe et non pas l’élève qui sera dorénavant au centre de l’école, nous faisons l’hypothèse que la philosophie ne sera plus une discipline parmi les autres mais la seule discipline. Il faudra non seulement « enseigner » la philosophie dès la maternelle, mais que ne soit enseignée QUE la philosophie.
Cette démarche permet dans un premier temps d’élargir la pratique philosophique à d’autres niveaux d’apprentissage que la terminale, d’établir des passerelles entre les disciplines, et de proposer des outils pratiques pour la vie scolaire dans les établissements. Les objectifs pédagogiques sont de présenter l’intérêt du dialogue pour la pratique philosophique, d’indiquer, à titre d’exemple, quelques pratiques pionnières et de donner des repères méthodologiques sur l’organisation de la classe et la conduite de l’enseignement. L’ouvrage est jalonné par des questions pratiques (comment vont se dérouler les séances ? comment ça se passe ?). L’accent est mis sur la philosophie comme questionnement qui concerne autant le praticien, dans sa démarche de pédagogue (comment commencer ?) que les élèves dans leur apprentissage de la démarche philosophique.
Les exemples sont choisis à partir de scripts de débats, ils reflètent la valeur des échanges mais peuvent aussi mettre en relief les difficultés et le rôle indispensable de l’intervenant dans le dialogue.
Les contributions sont donc d’origines diverses et manifestent les avancées et les balbutiements de cette pratique innovante. Comme elles sont d’auteurs multiples, dans le droit fil de la méthode exposée et se fondent sur le dialogue, elles prennent leur sens, non pas par leur exposition linéaire, mais en se répondant les unes aux autres, en se complétant voire en se critiquant. Comme elles s’inscrivent dans une histoire, elles font référence à des débats et des positions qui leurs sont extérieurs. A certains textes théoriques qui ont servi à fonder le protocole en débattant et en polémiquant avec l’institution et l’enseignement de la philosophie, et en luttant contre les dérives et les difficultés soulevées par les autres pratiques, sont joints des mises au point théoriques et des témoignages de terrain d’enseignants ou de praticiens qui leur ont été commandés spécialement pour cet ouvrage et qui ont leur pratique particulière, souvent ignorée du grand public et même du reste de leurs collègues, qui ont souvent leur combat et qui le disent avec leurs mots. Il ne faut donc pas s’étonner que quelques coups de griffe transparaissent ci et là. Ils sont l’indice des luttes, des blessures et des cicatrices qui ont de toute façon existé et qu’on ne peut pas dénier.
[1] Cf. son ouvrage A l’école de la pensée, De Boeck.
[2] Dont le documentaire en cinq parties, Journal de Classe a été diffusé en 2004 sur Arte.
[3] Champs – Flammarion 1977. Sylviane Agacinski, « Ces éducations prématurées qui font tant de bruit » ; Jacques Derrida, « l’âge de Hegel » ; Roland Brunet, « Margarita Philosophica » et « Platon en sixième » et Bernadette Gromer et Jean-Luc Nancy, « Philosophie en cinquième »,
[4] Instituts Universitaires de Formation des Maîtres.
[5] Institut National de Recherche Pédagogique.
[6] www.pratiques-philosophiques.net;
[7] Section d’enseignement général et professionnel adapté, structure regroupant des élèves en difficulté scolaire, âgés de 12 à 16 ans à l’intérieur d’un collège.
[8] Institut médico-éducatif, structure regroupant des élèves déficients intellectuels.
[9] Cf. eurphilo.net
[10] Ballaruc en 2003, les actes de ce colloque ont été publiés par la Desco, 2004 et Caen en 2004.
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/presentation-de-louvrage-apprendre-en-philosophant/
Table des matières de Apprendre en philosophant
Préface par Michel Lobrot
- Présentation : Les enfants philosophent aussi par Jean-François Chazerans.
- Introduction : La philosophie est la discipline elle-même par Jean-François Chazerans.
COMMENT COMMENCER ? RÈGLES ET MISES EN PLACE
- La méthode de l’intervenant par Jean-François Chazerans.
- Règles de fonctionnement par Mireille Oliver.
- Extrait d’un premier débat philo.
- Un balbutiement de dialogue.
- Le travail sur les questions en début d’année par Delphine Toquoy.
- Le café-philo : pourquoi l’on y revient chaque semaine par Dominique Grange.
COMMENT ÇA SE PASSE ? DÉROULEMENT ET ENJEUX.
- De la maternelle à la formation pour adulte : même philosophie ? par Jean-François Chazerans
Comment ça se passe au primaire ? Par Patricia Roux
- Au cycle II par Lucien Deslandes
- Au cycle III : Attentes et évaluation du projet de débat philosophique par Audrey Pétard-Ninh
- Exemple d’un débat philosophique en CE2-CM1
Comment ça se passe en SEGPA ?
- Des collégiens extra-ordinaires par Mireille Oliver
- Une forme appropriée de débat par Fabrice Devanne
Quand les acteurs de la Vie Scolaire philosophent
- Le café-philo comme outil d’éducation à la citoyenneté par Nathalie Lassalle
- Un projet en 6e pour lutter contre les incivilités par Marie Lahorgue
- La pratique philosophique au collège ou la parole comme outil de prévention de la violence scolaire par Anne-Frédérique Brault
- Vers une « Cité scolaire » : l’expérience du club forum-débat par Karjougui Sawadogo.
- Comment ça se passe en terminale ? par Jean-François Chazerans.
- La formation pour adulte : le café-philo comme méthode de formation à l’ESEN par Jean-Jacques Latouille.
- Le débat philosophique : moyen ou fin ? par Joëlle Martin.
- Enseignant ou intervenant : importance du statut de l’animateur pour les élèves par Agnès Genin.
- Le café-philo en classe : mission impossible par Jean-Pierre Seulin.
- Ateliers de discussion philosophiques et instructions officielles concernant l’oral : Qu’en est-il ? par Patricia Roux.
- Rencontres entre petits et grands, un débat philosophique entre élèves de CP et de 6e SEGPA : « C’est quoi le bonheur ? » par Mireille Oliver
QU’EN RETIRENT LES ENSEIGNANTS ? UN DEFI PEDAGOGIQUE POUR UNE RELATION NOUVELLE AVEC LA CLASSE.
- Des « pro » de la philo ?
- Place et rôle de l’enseignant par Fabrice Devanne.
- Le rôle du maître par Jean-François Chazerans.
- L’enseignant face à la parole libérée des élèves par Christine Morin.
- Script d’une première séance en CP : des questions facétieuses.
- L’intervenant : jalon essentiel, entre présence et absence par Jean-François Chazerans.
- Débats qui montrent comment peut émerger un distributeur de parole parmi les élèves par Jean-François Chazerans.
L’ART DE PENSER PAR SOI-MÊME AVEC LES AUTRES. AUTONOMIE ET DIALOGUES.
- Le savoir, ça ne se transmet pas ! par Jean-François Chazerans.
- La question de la question du sujet par Jean-François Chazerans.
- La peur de la question.
- Évolution et corpus intégral des questions d’élèves de la 6e SEGPA du collège Jean Moulin en 2003-2004 90 par Mireille Oliver.
- Responsabilité, autorité et pouvoir par Jean-François Chazerans.
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/table-des-matieres-de-apprendre-en-philosophant/
Café-philo des Trois-Cités du 14 avril 2006 au CSC du Clos Gauthier à Poitiers
8 personnes présentes.
Sujets proposés :
- La téléréalité nous montre t-elle la réalité ? [1]
- Être serein est ce obtenir un équilibre entre donner et recevoir ? [4]
- Doit-on toujours dire ce que l’on pense ? [6] sujet débattu
- Peut on tout pardonner en retissant des liens ? [3]
Permanent link to this article: https://philopartous.org/2006/04/cafe-philo-des-trois-cites-du-14-avril-2006-au-csc-du-clos-gauthier-a-poitiers/
Vos réactions