Café-philo des Trois-Cités du 16 novembre 2007 au CSC du Clos Gaultier à Poitiers

6 personnes présentes.

Sujets proposés :

  1. Est-il vrai que les goûts et les couleurs ne se discutent pas ? [1]
  2. Les hommes et les femmes sont-ils si différents ? [4] sujet débattu
  3. Est-ce que l’argent trie ? [2]
  4. Jusqu’où peut-on accepter les différences ? [3]
  5. Qu’est ce qui se cache derrière les clichés ? [3]

– Il existe moult différences entres les individus, pas vraiment facile de déterminer ce qui différencie un homme d’une femme par le caractère.
– Sur quels critères peut-on différentier un homme d’une femme en dehors des critères purement physiques ?
– Le marquage de l’attribution des personnes comme homme ou femme en dehors des caractères physique semble être émie par la société. L’attribut physique de naissance conditionnera automatiquement la façon dont la personne sera élevée. Ne touche pas à cela c’est pour les femmes ; ne touche pas à cela c’est pour les hommes. Malgré ce formatage imposé, les personnes finissent par faire ce qu’elles souhaitent. Est-ce qu’il existe une partie d’inné qui fait que certaines personnes outre passe la tentative de « construction » émisse par les « codes » de la société.
– Oui certes, mais les femmes parlent de leur problème entre elle est les hommes de leur problème entre eux ! Cela ne me parait pas anormale par le simple fait que qu’il est souvent dit : si nous ne sommes pas, ou si nous ne sommes pas touché par un problème quel qu’il soit, ont ne semble pas être en mesure de comprendre. Les hommes ne peuvent pas comprendre les femmes par ce que se sont des hommes, les femmes ne peuvent comprendre les hommes car ce sont des femmes. Les personnes n’ayant pas eu un cancer ne peuvent pas comprendre les personnes qui ont eu un cancer… etc.
– Peut-on déterminer qu’une personne est un homme ou une femme sur des critères d’attirances sexuels ? Est-ce que le fait d’être attiré un homme prouvent que l’on est une femme et inversement ? apparemment non
– Pourquoi une femme qui porte des vêtements d’homme reste une femme alors qu’un homme qui s’habillerait avec des vêtements de femmes ne resterait il pas un homme ?
– Il semble que l’être humaine ne puisse être « neutre ». Il semble qu’il faille obligatoirement être soit homme, soit femme, ce qui est entre les deux, ou qui ne rentre pas dans une norme soit déstabilisant. Nous pouvons être hétérosexuel, homosexuel, car cela semble claire et bien déterminer, mais la bisexualité sème le doute.
– Qu’en est il pour les transsexuel(le)s, des personnes nées avec un corps d’homme, mais qui souhaitent devenir des femmes et des personnes nées avec un corps de femme qui souhaitent devenir des hommes ? De ce côté il semble qu’il y ait plus de d’hommes qui souhaitent devenir des femmes que l’inverse. Comment prouver en tand que personne si l’on est un homme ou une femme en dehors de l’apparence physique ou vestimentaire ?
– Dans certaines sociétés il semble que les femmes qui s’habillent comme des hommes ne choquent pas alors que l’inverse oui ! Une personne fait remarquer qu’elle remarque qu’une bonne partie des jeunes femmes mettent des chaussure de sport au look très masculin et que cela n’a pas l’air de choquer alors que l’on ne remarque pas de jeunes hommes avec des tennis au look féminin de peur de se faire traiter d’homosexuel. Les femmes auraient donc le droit de porter des vêtements d’homme alors que l’inverse n’est pas vrai.
– Chez les Inuits, si dans la famille il y a un nombre d’homme trop nombreux chez les enfants le dernier sera élevé, comme une femme et inversement. Certes mais là, ce sont les attributions des taches et non l’apparence.

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